« Un coup de tonnerre dans le ciel limpide de Violaine Schwartz et Camille Reynaud« , émission L’heure bleue de Laure Adler du 13 mai 2021 sur France Inter.

« C’est en fragments futés et autoportraits élusifs (avec Hervé Guibert et son Image fantôme à portée d’oeil) que se construit Et par endroits ça fait des noeuds […] C’est aussi via l’humour ou grâce à l’équivocité lexicale que Camille Reynaud met ce qui la déstabilise à distance dans ce premier texte émouvant et érudit. De la mémoire corporelle à un plongeon avec la poétesse Marina Tsvetaeva, il y a ici toute une constellation de points lumineux à embrasser des deux yeux. »
Anne-Lise Remacle dans Le Vif / L’Express du 14 janvier 2021

« Ce nécessaire rappel des faits ne dit pas grand-chose de ce qu’est ce premier roman dont l’originalité formelle parvient à saisir une réalité insaisissable de l’extérieur. Comment appréhender par l’écriture un événement qui bouleverse à ce point le rapport au monde ? »
« Avec ce roman performatif qui s’achève un soir de mars aux urgences de l’hôpital Bichat, elle se réapproprie son corps et recompose à sa guise un moi éparpillé. »
Sophie Joubert dans L’Humanité du 20 janvier 2021

« Le compte rendu hospitalier devient une terre d’exploration au pays des Argonautes, à l’image (numérisée) d’un cerveau sens dessus dessous. D’une écriture alerte, privilégiant l’humour dans le désir parfois volontariste de convertir une aventure tragique en or littéraire, le premier récit de Camille Reynaud trame les références poétiques et photographiques pour retrouver une capacité à devenir »
Bertrand Leclair dans Le Monde du 21 janvier 2021.

Une « autofiction enjouée » et un « collage délicat »
Amandine Schmitt dans L’Obs du 25 au 31 mars 2021.

« L’écriture est précise et organique »
« L’objet que livre Camille Reynaud est sans nul doute un objet littéraire, qui se confronte à la forme et à la matière, affronte les éléments. Un parcours raconté avec pudeur et sincérité. »
Solène Bertrand dans Le Havre Infos / 76actu du 24 janvier 2021.

Delphine Pereira dans La Dépêche du Midi du 19 janvier 2021.